dimanche 13 mars 2022

MANIFESTE POUR UNE PLANETE PLUS DURABLE.

Article rajouté le 07.09.2023

TRANSPORTS

Transports publiques et voitures de partage.

La première idée est basique et « évidente » : multiplier et rationaliser les transports publiques pour que plus personne ou presque n’ait réellement besoin de prendre la voiture.
Pour ceux qui ne peuvent pas, pour une raison ou une autre, se passer de la voiture, on généralisera les voitures en partage.

On pourra soit interdire la voiture privée, soit la soumettre à une taxe prohibitive pour que seuls les plus riches ou les inconscients puissent se la permettre.

Pour les autres, on établira des zones de parkings permanentes jamais éloignées de plus de 50 mètres ( ?) de tous lieux d’habitation ou de travail.

Là se trouveront des voitures de partages, sur le modèle de Mobility, de tous les formats possibles, de la Smart au van ou break ou SUV. L’utilisateur commandera une voiture en précisant le nombre total de passager et la charge à transporter et il lui sera alloué le modèle qui lui correspond.
Il indiquera sa destination, et à l’approche de celle-ci, l’ordinateur de bord lui signalera la place de parking qui lui est réservée.

Ainsi, chaque utilisateur de voiture utilisera un véhicule qui correspond au plus près à son besoin et ne perdra aucun temps à chercher une place.
Idéalement, ce système sera valable et opérationnel dans toute la Suisse, comme « Mobility », ainsi qu’à l’étranger, pas comme « Mobility ».
Et uniquement fourni en voitures « vertes ».




La « Solo » électrique de la firme canadienne «ELECTRAMECCANICA » sortie en 2019 n’est malheureusement plus commercialisée suite à un défaut technique semble-t-il insolvable. Dommage.

https://detours.canal.fr/voici-plus-petite-voiture-monde-partir-boulot/
https://www.mobility.ch/fr/clients-prives




Article rajouté le 07.09.2022

LE REGIME TOTALITAIRE

Le régime politique totalitaire est la solution à tous nos problèmes. Comme l’a relevé John Cleese il me semble, la démocratie ne peut être un système politique valable car il permet aux plus bêtes de voter. La démocratie permet aussi de manipuler le peuple et peut être pervertie, comme on l’a vu à plusieurs reprises aux USA, à travers le système des « Grands Electeurs » et des lobbies.
Cette démocratie là a aussi permis d’élire Trump, qui a retiré son pays des accords de Paris et essayé de relancer l’industrie du charbon alors même qu’il commandait un mur pour protéger un de ses golfs contre la future montée des océans.

Plus près de nous, Greta Thunberg a été chahutée sous le prétexte qu’elle était manipulée. Et par qui ou pourquoi ? On rappellera le dicton chinois : « Quand le sage montre la Lune, l’idiot regarde le doigt. » Autrement dit, le message global de Greta est totalement valable et juste et indispensable, mais on n’a pas attaqué son message, on a tué ou essayé de tuer le messager.

A titre personnel, certaines des grandes bêtises que j’ai lues ou entendues dernièrement ont trait au transport aérien. Je disais qu’il fallait en réduire l’usage au strict nécessaire, et on m’a répondu « Mais alors, je ne pourrai plus aller voir ma sœur aux USA ? » Hé bien non : ça s’appelle un sacrifice, ou alors ces deux sœurs doivent s’organiser pour habiter plus près l’une de l’autre.
Une autre bêtise classique, c’est « Je ne vais quand même pas renoncer à mon entrecôte ? » ou encore « J’ai absolument besoin d’une voiture, et qu’on ne me parle pas de l’électrique. De toutes façons, l’électricité provient du charbon. » Ce qui est faux en Suisse, et encore plus à Genève, qui produit aujourd’hui en tout cas un surplus d’énergie électrique verte.
En France, l’électricité vient prioritairement du nucléaire qui, n’en déplaise aux opposants, a jusqu’à présent fait la preuve de son efficacité et de sa sûreté : seulement deux accidents importants en plus de 70 ans, avec un nombre de victimes à priori faible. Faible en comparaison du pétrole et du charbon. Et donc, le nucléaire, oui c’est affreux, est bel et bien l’énergie la plus verte et efficace (combinés) que nous ayons actuellement, surtout dans le cas des pays comme la France, qui ont si lourdement investi dans cette technologie.

Mais je m’égare.
La seule solution pour enrayer très tardivement la crise écologique que nous vivons actuellement est d’établir un état totalitaire mondial qui prendra les meilleures décisions pour l’Humanité entière. J’ai déjà évoqué le cas des naissances, ou un moratoire mondial doit être instauré, mais il doit aussi l’être à tous les autres domaines les plus polluants. Et pas pour dans 25 ans, mais tout de suite.
Par exemple, interdire la production de voitures à essence dès aujourd’hui. On peut toujours recycler les modèles polluants déjà construits.
Interdire la reproduction de nouveaux bestiaux destinés à la consommation ou établir un moratoire, et reporter la production de céréales qui leur sont destinés à la nôtre.
Interdire les transports aériens, aussi avec effet immédiat.
Interdire internet, les smartphones, la 5G, etc….
Vous me dites que c’est impossible ?

Mais alors, quelle est l’alternative ?
Dire aux rescapés humains de 2050 équipés de scaphandres hermétiques et qui en sont réduits à chasser des cafards et des rats: « Ecoutez, on est désolé, on a essayé de prendre des mesures, mais on ne voulait pas non plus renoncer à notre confort. »

En lien : https://www.non-initiative-elevage-intensif.ch/?gclid=Cj0KCQjwguGYBhDRARIsAHgRm4-2NeS4W6oZ81pWDeAO_SNfGofdn2YA6TiLHnztN7sf7hGI9GdoB_0aAv3tEALw_wcB
Une initiative en cours en Suisse, où les opposants prétendent que l’élevage intensif n’existe pas en Suisse, alors même que plusieurs exploitants ont été dénoncés et condamnés ces dernières années.
Quelques citations :
« cette initiative vise en fait de réduire notre consommation de viande » Simone de Montmolin, PLR.
« Il n’y a pas d’élevage intensif en Suisse ! » Claude Biéry, Avully.
« Nos clients veulent consommer de la viande locale. » Bernard Menuz, Président de Société Patronale des Bouchers Charcutiers.

https://www.24heures.ch/une-video-denonce-une-porcherie-vaudoise-ordinaire-329893774119





Article rajouté le 31.03.2022

Petit manuel de sobriété énergétique

Il y a quelques
temps (l’article n’est pas daté), « Le Temps » a publié une liste de mesures que chacun peut prendre pour réduire son empreinte écologique.
Mais en avant-propos, l’article mentionne que « 
pour respecter les engagements pris par la Suisse en matière climatique, la consommation énergétique moyenne de chacun de nous doit baisser de 43% d’ici à 2035. »


Donc, ce n’est pas gagné.

Dans les mesures proposées et que je n’ai pas abordées, on trouve :

° Le chauffage : En baissant notre chauffage d’un degré, nous baissons notre dépense énergétique de 7% ! Incroyable, non ?
L’article dit aussi qu’avec un meilleur réglage des chaudières, l’économie serait de 6 à 7%. Aucune précision factuelle n’est donnée sur ce point, ce qui est bien dommage, mais on devine, comme je l’ai moi-même écrit, que ça peut-être ne pas chauffer lorsqu’on est absent dans certaines pièces ou du logement complet, ni la nuit, etc….

° Pour les distances courtes (moins de 15 km), utiliser un vélo plutôt que la voiture.

° En voiture, l’alléger le plus possible, notamment en retirant le coffre de toit lorsqu’on ne l’utilise pas (15% d’économies).
En voiture aussi, rouler moins vite et de manière plus fluide (moins d’accélérations et de freinages) est aussi plus économique.

° Utiliser son lave-linge et son lave-vaisselle ménage le réseau électrique car on utilise alors de l’électricité en dehors des pics de consommation, où nous importons parfois l’électricité d’Allemagne.

° Télécharger plutôt que streamer : Dur, dur, tellement le streaming est entré dans nos vies. Et puis, un film téléchargé (légalement) coûte nettement plus cher qu’un film streamé. Adieu Netflix, Disney+ et autres ?
Et dans la musique ! Aïeaïeaïe !
Et pourtant, l’époque où j’écoutais toute ma musique sur CDs n’est pas si lointaine.
L’article ne précise pas que le simple fait de passer du temps sur Internet dépense de l’énergie, et Youtube plus que tout autre site, vu que ce n’est que du streaming. Facebook n’est pas loin derrière.

° Etendre son linge plutôt que le passer au sèche-linge.
Perso, je le fais déjà, et en plaçant ce linge près d’un radiateur, ça réduit d’autant le temps de séchage.


https://www.letemps.ch/economie/petit-manuel-sobriete-energetique






Article rajouté le 29.03.2022

L’AVION, UN DES PLUS GROS POLLUEURS DE LA PLANETE

En effet, le trafic aérien produit entre 1,5 % et 4 % des gaz à effets de serre dans le monde. (J'ai trouvé plusieurs chiffres.)
Il faudra que non seulement nous apprenions à simplement moins nous déplacer, autrement dit à réduire les vacances à l’autre bout le planète, mais aussi à proscrire complètement les déplacements aériens sur de courtes et peut-être moyennes distances.

Prenons par exemple un voyage Genève-Paris. Le gain de temps par avion est nul, voire favorable au train.
En prenant comme repère les Gares de Cornavin (Genève) et de Lyon (Paris) comme repères :

Avion : train Cornavin-Cointrin (aéroport), accès au quai, attente du train, arrivée aéroport, accès à l’enregistrement : 30’ + 2h d’avance avant départ + 1h de voyage + 40 ‘ (récupérer le bagage) + attente du métro et trajet : 40 ‘ : entre 4h30 et 4h40.
Le calcul présent tient compte d’une arrivée à Orly. Pour Charles-de-Gaulle, prévoir 40’ de plus.

Train : Accès au quai + trajet : entre 3h40 et 4h10.

Genève-Marseille :

Avion : (le plus court) : (trajet) 3h30+ 2h30 (avant le départ) + trajet aéroport-centre-ville : Plus de 6h !
Train : 4h30

Ensuite, il y a évidemment des destinations même courtes où le train ne parvient pas à des résultats aussi attractifs : Genève-Nice en train : 6h40 de voyage seul !
En avion : 1h de voyage.

Mais au-delà de ces considérations, chacun doit décider 1° quel est le mode de déplacement le plus responsable, et 2° Est-ce réellement grave de « perdre » quelques heures de sa vie en optant pour le train plutôt que l’avion ?



https://www.ecoco2.com/blog/limpact-reel-du-transport-aerien-sur-le-climat/
https://bonpote.com/le-match-co2-train-vs-avion/






Article rajouté le 28.03.2022
LE SMARTPHONE LE PLUS ECOLO

Grâce à la société « Fairphone », vous pouvez contribuer de manière significative à une réduction de votre empreinte écologique.
Imaginez seulement si Fairphone était le leader mondial de fabrication des smartphones plutôt que Apple (Iphone) ou Samsung (Galaxy).
Le concept est simple, toutes les éléments du « Fairphone » sont remplaçables, et ce, soi-même !
Donc, en théorie, on n’a plus à ce soucier de changer de « smartphone » tous les 3 ou 4 ans parce que l’appareil de photo est défectueux ou l’écran ne répond plus. Ou parce que le fabricant a mis sur le marché une nouvelle version qui rend votre téléphone assez rapidement obsolète.
Autres points fort de cet appareil : il est garanti cinq ans, contre deux en général chez les concurrents.
Au niveau technique, il semble que l’appareil est un peu moins performant qu’un Iphone dernière génération pour les photos.
Par contre, on peut y installer un système d’exploitation alternatif à Androïd par exemple, qui permet de se désolidariser de Google et ses collectes de données privées.

« Fairphone » s’efforce de plus à se procurer les composants les plus équitables possibles et à assurer « une meilleure redistribution des bénéfices le long de la chaîne de production ». Il serait aussi moins gourmand en électricité que ses concurrents. (source Wikipedia).

Ce sera sans aucun doute mon prochain smartphone.

https://www.tdg.ch/le-fairphone-4-le-seul-telephone-qui-prend-soin-de-la-planete-827514443677
https://www.wikiwand.com/fr/Fairphone_(entreprise)
https://www.youtube.com/watch?v=4Uq1v64_RCA




Article rajouté le 22.03.2022
LA BOITE NOIRE POUR LA FIN DU MONDE

Ouf, nous sommes sauvés !
Enfin, le souvenir de notre passage sur Terre est sauvé si nous disparaissons.

En effet une Boîte noire d’environ 10 mètres de long va être mise en place en Tasmanie qui enregistrera en continu les principales activités humaines ainsi que des données scientifiques liées aux changement de températures, la croissance démographique, la consommation d’énergie, etc…
Les données de cette boîte noire, en version beta, sont déjà disponibles sur son site.
L’ambition de ce projet est non seulement de laisser une trace après notre disparition, mais aussi, dans l’immédiat, d’attirer l’attention des pouvoirs publiques sur les mesures plus ou moins urgentes pour essayer, encore et toujours, d’éviter l’Apocalypse.


https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-scientifiques-sont-train-construire-boite-noire-va-enregistrer-fin-humanite-96055/
https://www.earthsblackbox.com/






Article rajouté le 22.03.2022
DE L’ENERGIE PROPRE EN CIRCUIT FERME.

Mon cousin Victor m’a transmis la vidéo ci-dessous, où le type a conçu un système d’énergie propre en circuit fermé.
Dans les grandes lignes, des cellules photovoltaïques actionnent une pompe qui aspire de l’eau vers un réservoir sur le toit. Le soir tombé, l’eau qui retombe vers un réservoir au sol fournit de l’énergie hydraulique qui permet d’éclairer la maison.
Le défaut apparent du système est que la taille du réservoir sur le toit ne doit pas pouvoir fournir beaucoup d’énergie. Alors, évidemment, il pourrait installer un plus grand réservoir, mais jusqu’à quelle charge et avec quel rendement final ?
Il mentionne tout de même qu’un projet exploitant ce procédé à très grande échelle est en cours de construction en Oregon.

A noter que ce procédé n’est réellement intéressant que dans les régions ne comportant pas d’importants cours d’eau.
Pour les autres, il y a l’énergie hydro-électrique traditionnelle.


https://www.youtube.com/watch?v=CMR9z9Xr8GM&list=WL&index=2
https://www.slenergystorage.com/





Article rajouté le 21.03.2022
HABITUDES ECOLO A PRENDRE CHEZ VOUS.


° Eteignez les lumières quand vous quittez une pièce ou n’y séjournez pas.

° Lorsque vous faites bouillir de l’eau, mesurez d’abord la quantité que vous allez utiliser. La casserole ou la bouilloire chauffera moins longtemps.

° Si vous avez une cuisinière électrique, vous pouvez l’éteindre avant la fin de la cuisson.

° Lorsque vous avez fait griller quelque chose dans une poêle antidérapante, nulle besoin d’utiliser du savon liquide pour la nettoyer. Un simple coup de chiffon suffit si elle est encore chaude. Sinon, réchauffez-là un peu et, hop, coup de chiffon. C’est radical.

° Pendant la nuit, éteignez votre téléphone portable et débranchez votre modem, à moins que vous ayez absolument besoin d’être joignable à tous moments.
Et éteignez tout autre appareil qui reste allumé même lorsqu’il semble éteint, comme les téléviseurs et les écrans d’ordinateurs « en veille ».

° Si vous habitez seul ou en couple (ou autre), nul besoin de tirer la chasse d’eau chaque fois que vous lâcher trois gouttes. Vous économiserez ainsi 3 ou 4 tirages de chasses par jour, soit des dizaines de litres d’eau filtrée !
Autre initiative pour économiser l’eau des toilettes : se soulager (le pipi seulement !) sous la douche.
Une fois qu'on a pris l'habitude, ça passe tout seul! :) 



Article rajouté le 20.03.2022
CHAUFFAGE ET AIR FRAIS

Que ce soit dans votre résidence privée ou votre lieu de travail, vous devez prendre des mesures pour réduire votre empreinte écologique.

Chauffage : si vous avez des radiateurs, fermez-les quand vous n’êtes pas dans la pièce ou quand celle-ci a atteint une température qui vous convient.
Par exemple, il n’est pas nécessaire de chauffer votre chambre à coucher si vous n’y êtes pas pendant la journée, et évidemment pas pendant la nuit.
Personnellement, je ne mets le chauffage qu’au réveil pendant environ une heure.
Même chose dans la salle de bains lorsque je prends ma douche : je l’ouvre quelques minutes avant et le ferme une fois sorti de la douche.
Dans la salle où j’ai la télévision, je le mets lorsque je la regarde ou je sais je vais y passer plus d’une demi-heure.
Il n’y a vraiment que la cuisine que je chauffe plusieurs heures par jour, mais je m’efforce là aussi de fermer le chauffage quand je m’absente plus d’une heure.
La température baisse alors de quelques degrés s’il fait vraiment froid dehors et lorsque je le remets en route à mon retour, il n’y a vraiment que quelques minutes de léger inconfort après que mon corps se soit déshabitué au froid de l’extérieur.
A chacun de régler ses radiateurs selon sa tolérance, mais il n’est de toutes façons pas sain de trop chauffer.

A l’époque où je travaillais, j’avais un magasin, j’ouvrais le chauffage le matin en arrivant et le fermais le soir en partant. Au total, ça faisait sûrement une économie de cinq heures de chauffage par jour.
Même si le chauffage était facturé sur la base de l’immeuble entier, c’était tout de même une économie, et plus écologique.

En été, lors des grandes chaleurs, un truc très simple : on laisse les fenêtres ouvertes la nuit, et lorsque la température de l’extérieur s’approche de celle de l’intérieur, on ferme impérativement les fenêtres le matin, en général à partir de 10 ou 11h, jusqu’au soir.
Aussi, il faut fermer les volets du côté où le soleil chauffe.
Pour mesurer la température, on mettra un thermomètre à l’extérieur et un à l’intérieur. Ou alors on peut juger avec la main. Ça marche aussi très bien.
Personnellement, j’arrive en général à maintenir une température intérieure de 22° C lorsqu’il fait plus de 30° dehors.
Cela évite de faire tourner des ventilateurs qui, de toutes façons ne font que brasser de l’air en procurant une sensation provisoire de fraîcheur, tout en chauffant au final l’atmosphère avec leurs moteurs électriques.


But : réduire l’empreinte écologique du pays à travers des mesures diverses et variées.




SURPOPULATION
LE TRIBUNAL DES CRIMES CONTRE LA PLANETE
ECONOMIE.
HYGIENE
CONSOMMATION
AGRICULTURE

IMPORTATIONS 
INTERNET, TELEPHONIE
RAMASSAGE
TAXES
CHAUFFAGE
SHOPPING
RECYCLAGE
EAU
ELECTRONIQUE/ELECTROMENAGER/ETC…


LA SURPOPULATION

Le problème.


Nos principaux problèmes écologiques sont : le réchauffement climatique, la pollution, l’épuisement des ressources et surpopulation. Or, ceux-ci ne peuvent se résoudre sans s’attaquer d’abord au problème ultime : la surpopulation. Réduisons le nombre des individus sur la planète, et presque tous les autres problèmes se résoudrons d’eux-mêmes, ou seront plus faciles à gérer.


Les solutions.

Il y en a plusieurs, comme par exemple les camps d’extermination, les pandémies, les guerres, le catastrophes naturelles ou industrielles, mais nous nous intéresserons ici à la manière douce : il faut réduire le nombre de naissances.

Une étude faite en 2013 révèle qu’à cette époque, il naissait 139 Millions d’êtres humains par année, et il en mourrait environ 62 Millions. Si nous établissions un moratoire durable sur les naissances, ce serait environ 70 Millions d’individus qui disparaitraient la première année (nous sommes plus nombreux qu’en 2013), et un petit peu moins à mesure que la population se réduit.
Au bout de 10 ans, ce environ 500 Millions d’individus disparaitraient et peut-être 1 Milliard au bout de 20 ans !

Option moins radicale, réguler la population au niveau mondial de façon durable selon le barème de 1 individu - 1 enfant. Autrement dit, un couple qui s’unit pour la vie aura droit au maximum à 2 enfants. Si ce couple ayant eu 2 enfants se sépare, chaque partenaire perdra son droit à avoir un enfant avec un autre partenaire. Selon ce principe, la population mondiale restera à priori stable, à cela près que certains enfants mourront prématurément et que d’autres individus n’auront pas d’enfants. Donc la population baissera, mais très graduellement, à raison de quelques millions d’individus annuellement.

Nous pouvons aussi opter pour le moratoire total pendant 20 ans, pour marquer le coup, et ensuite pour la politique de 1 individu 1 enfant. Ainsi, toute femme en âge de procréer au moment de la prise de décision du moratoire pourra décider d’avoir un enfant avant le démarrage de celui-ci, et les autres auront la possibilité d’en avoir un à la fin de ce moratoire, soit à 36 ans par exemple.
Pour mettre cette gestion de la natalité en place, il faudra déjà s’inspirer de ce que les chinois ont accompli par le passé. On pourra aussi s'inspirer de ce qui a été fait chez nous par rapport à la cigarette et au recyclage. Convaincre la population sur la durée que faire moins d’enfants est un geste citoyen.
Si cette politique de propagande écolo-citoyenne devenait efficace, on pourrait ainsi éviter d’inscrire celle-ci dans la loi et pénaliser toute personne qui ne s’y plierait pas.

Selon la Collapsologie, il y a urgence. Ce ne serait pas la première fois que des scientifiques se trompent, mais peut-on vraiment prendre le risque ? D’autant que sur le Réchauffement Climatique, ils se sont trompés par optimisme, tablant tout d’abord sur une fonte générale des glaces au 22ème siècle ! Elle est à présent prévue dans la décennie actuelle.

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Les arguments contre.


1° « On ne peut pas imposer de telles mesures à la population. » Il faut faire la distinction entre «pouvoir» et « devoir ». Ensuite, il faudra commencer par une campagne d’information au niveau mondial, passer des résolutions auprès des Organisations Internationales, comme l’ONU et le Parlement Européen, etc...

2° « L’économie s’effondrera ! » « Qui paiera pour nos retraites ? » Tout changement radical implique des sacrifices, mais il s’agit bien ici de la survie de l’espèce humaine. Et puis, les plus jeunes auront plusieurs décennies pour préparer leur retraite. Aussi, au fur et à mesure que la population mondiale baissera, les ressources, elles augmenteront. C’est le principe des vases communicants.

3° « La Suisse a déjà une démographie en baisse. » ou au contraire « Ce sont les pays industriels qui consomment le plus. Les pays émergents ne sont pas concernés. » Les deux arguments sont mauvais: les pays émergents consomment autant que nous dans certains domaines (ou presque), comme la nourriture, l’habillement, les énergies fossiles. Quant à la démographie, les pays industrialisés, s’ils auront peut-être moins de difficultés à se plier à des quotas, ils devront montrer l’exemple. Imaginez qu’on dise un jour : « La Suisse a décidé de ne plus faire d’enfants pendant 20 ans. » Vous ne pensez pas que d’autres pays suivront l’exemple ou s’en inspireront ? Aussi, une fois la mesure prise, il sera plus facile d’imposer des restrictions à l’immigration, ou taxer plus lourdement des produits venant de pays réfractaires.

http://www.atlantico.fr/atlantico-light/carte-naissances-et-morts-dans-monde-en-temps-reel-886865.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Collapsologie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Banquise


« Depuis 2012, il est admis que la banquise disparaîtra presque entièrement en fin d'été d’ici 2030.»

 
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_de_la_Suisse#Naissances_et_d%C3%A9c%C3%A8s
« En 2020, 85 914 naissances (…) ont eu lieu en Suisse. (… Et) la même année, 76 195 personnes sont décédées en Suisse (…). »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Population_mondiale#Impact_environnemental_de_la_surpopulation
« En 2012, l'empreinte écologique de l'humanité atteignait 20,1 milliards d'hag, soit 2,8 hag par personne, alors que la biocapacité de la Terre n'était que de 12,2 milliards d'hag, ou 1,7 hag par personne, soit une surexploitation écologique de 65 %. Il faudrait donc 1,65 année pour régénérer les ressources consommées par l'homme en 2012 et absorber le CO2 produit. »





LE TRIBUNAL DES CRIMES CONTRE LA PLANETE

Une fois définie une liste de lois visant à protéger la planète, un Tribunal Suprême sera mis en place pour punir les contrevenants en fonction de la/les fautes commise/s.
Ces lois seront bien évidemment appliquées rétroactivement pour les fautes les plus graves.

Une personne qui aura jeté un mégot par terre sera par exemple condamnée à ramasser des détritus pendant une heure.

Le directeur de Dupont de Nemours qui a consciemment mis sur le marché la molécule 
PFOA (acide perfluorooctanoïque) sera condamné à une peine qui n’a pas encore été définie, mais par exemple : la nuit, il sera attaché à une planche et son sang sera graduellement pompé jusqu’au point critique de mort certaine. La journée, il devra accomplir des travaux d’intérêt général les plus dégradants possibles, en public, à perpétuité, peine non compressible.
Les PDG qui ont approuvé la mise en service du 737Max seront eux condamnés, aussi à perpétuité, à servir des cafés dans un compartiment de train où les passagers pourront à tour de rôle venir les harceler de toutes les manières qui leur plaira. Tout passager qui n’aura pas harcelé le condamné sera gentiment prié d’aller s’asseoir ailleurs.

Nulle doute que les contrevenants à ces lois disparaîtront assez rapidement.

https://www.huffingtonpost.fr/entry/dans-dark-waters-le-pfoa-est-au-coeur-dun-scandale-sanitaire-de-quoi-sagit-il_fr_5e53f207c5b66729cf5fda07

https://www.wikiwand.com/fr/Suspension_de_vol_du_Boeing_737_Max






ECONOMIE

Il faut impérativement réduire l’économie, car ce qu’on appelle la « production » est avant tout de la destruction. Destruction des milieux naturelles, les forêts, les océans, l’air, la terre.
On dit par exemple communément que les voitures électriques ne sont pas propres, mais 1° tous les véhicules à moteur sont sales, et 2° l’extraction des minerais qui composent les batteries est certes très polluante, mais toutes extraction de minerai est polluante.
Même le béton est polluant et dommageable pour l’environnement. Des montagnes ont été rasées pour construire Dubaï.
La seule solution viable est donc de produire moins.



Un sage (dont nous ne retrouvons pas le nom) a dit : « A l’avenir, la ressource la plus importante sera celle que nous économiserons. »
Nous allons donc proposer ici des solutions diverses pour dépenser moins, en ressources naturelles et de notre porte-monnaie.
((sources))


On pense souvent qu’être écolo, ça coûte plus cher, mais pas du tout !
Etre écolo, c’est non seulement assez simple mais c’est souvent économique.

Renoncer à la viande par exemple, c’est moins de gaz carbonique et moins de matière fécale générées par le bétail, plus de végétaux consommés par les humains et moins de ressources naturelles détruites. Être écolo, c ’est dépenser moins pour le chauffage et la lumière, c’est moins prendre l’avion ou la voiture. C’est réutiliser des matières que vous auriez jetées après un usage unique ou les consommer avant qu’elles ne deviennent réellement inconsommables ou inutilisables.

C’est dépenser local, donc moins de transports polluants. Dans ce cas, effectivement, vous dépensez peut-être plus dans l’immédiat, mais en regard des économies directes faites ailleurs, vous êtes gagnants.

Ne vous laissez pas effrayer par le nombre de conseils prodigués ou par leur complexité apparente.
Soyez modestes. Commencez par appliquer une ou deux règles de vie énoncées ici, celles qui vous parlent le plus, et quand vous les aurez parfaitement intégrées, choisissez-en une ou deux autres.
N’espérez pas devenir un Saint de l’écologie, mais essayez de contribuer à l’effort global, avec vos moyens et votre volonté propres.

Nous vous suggérons par exemple de copier les mesures qui vous parlent le plus et de les afficher chez vous, comme pense-bête.
Lorsque vous aurez bien intégré ces mesures, vous pourrez les éliminer de votre liste et passez aux suivantes.

Les conseils qui suivent sont rédigées par un suisse et donc les valeurs monétaires sont exprimées en Francs suisses ; certains termes ou usages sont spécifiques à la Suisse : au besoin, demandez un éclaircissement, et adaptez à votre région linguistique ; certaines mesures de recyclage n’existent peut-être pas encore chez vous : contactez vos autorités pour leur suggérer de s’y mettre ; n’hésitez pas à nous faire savoir celles qui sont en vigueur chez vous et que nous pouvons appliquer chez nous.


HYGIENE:
 
° Gel Douche contre savonnette :

D’abord, le gel douche n’est pas un « gel » mais de l’huile, et originellement de l’huile de palme qui plus est. L’inventeur en est d’ailleurs la société « Palmolive », autrement dit : huile d’olive + huile de palme.

Cette dernière est hautement polluante car elle vient de très loin et que des surfaces considérables de forêts vierges sont rasées pour être remplacées pas des rangées de palmiers où la vie animale est quasiment absente. Voyez les plantations de bois pour l’industrie chez nous: même situation.

Le « gel douche » est le produit typique qui a été inventé dans le but de vous convaincre de payer plus cher un produit dont vous n’avez pas besoin.
Car, mélangez de la poudre de savon à votre eau de vaisselle : vous lavez votre vaisselle. On met bien de la poudre dans le lave-vaisselle, non ? Alors pourquoi pas aussi dans l’évier ?
A quel point le savon liquide est-il plus cher que le savon traditionnel ?

Selon un test mené par nous-même Le gel douche s’est avéré deux fois et demie plus cher qu’un savon traditionnel !
De plus, au bout d’une année d’utilisation, il est apparu qu’en prenant une douche par jour, on accumule ainsi presque 1 kg de déchets annuels avec le savon liquide.
En achetant une savonnette sans emballage, le déchet est nul.
En se lavant uniquement avec une savonnette, l’économie est équivalente à 90 CHF sur une année, soit environ le prix de 10 à 15 repas préparés à la maison ou 2 à 3 repas pris au restaurant !
Cette économie peut aussi se reporter sur des produits de meilleure qualité et aussi plus écologiques, dans la nourriture par exemple, mais aussi l'habillement, les transports, etc....


Prendre des douches plutôt que des bains, c’est devenu un standard social et c’est tant mieux. De nombreux logement ne proposent d’ailleurs plus de baignoires.

Se savonner d’abord à sec avec un savon mouillé, puis se rincer à l’eau, froide de préférence. Moins chaude si l’eau froide est trop radicale au début.
Espacer autant que possible les douches. Les jours où on ne prévoit pas d’avoir des interactions sociales soutenues, on peut se passer complètement de se laver. Pourquoi le faire tous les jours si on n’a pas une activité salissante ou stressante ? Profitez des vacances pour tester cette nouvelle manière de faire. Si vous prenez vos vacances à la mer passez-vous complètement de toilettage les jours de plage et contentez-vous de la douche en sortant des vagues. Même chose en bord de lac et de rivière.
Certains jours d’activité, une douche complète ne se justifiera pas : on savonnera ainsi juste les parties nécessitant une hygiène plus suivie : l’ organe génital, le derrière, sous les bras.

Ne vous lavez plus les cheveux. En effet, si le crâne est aspergé quotidiennement ou presque quotidiennement d’eau, pourquoi y ajouter en plus du savon ?
C’est d’autant plus valable si on a les cheveux très courts ou… quasi pas de cheveux.
Un mouvement est né dans les pays anglo-saxons et s’appellent le « no poo » (« pas de shampoing ») . Keanu Reeves en est adepte ! (Ca se voit, on dira.)
Les avis « no poo » sur le net sont très partagés. Je soupçonne pour ma part que les argumenteurs contre cachent des lobbies du shampoing.
Je n’utilise plus de shampoing depuis plus de 10 ans, et ne m’en porte pas plus mal.
Certains jours d’activité, une douche complète ne se justifiera pas : on savonnera ainsi juste les parties nécessitant une hygiène plus suivie : l’ organe génital, le derrière, sous les bras.

Du coup, vous pouvez vous constituer un semainier de toilettage : Si une douche est finalement souhaitable sur un jour prévu sans douche, intervertissez le programme avec le jour suivant.

Si vous organisez votre semaine de douche selon le principe de 2 douches complètes, 4 douches partielles (comptant pour des douches à 50%) et 2 jours sans toilettages (0%), l’économie annuelle de savon avec la douche quotidienne complète est de 34 CHF environ avec une savonnette, ou de 120 CHF par rapport à la douche quotidienne avec gel !

Rajoutez à ce calcul l’économie d’eau (chaude ou froide) et de temps.

Si votre patron exige de vous une douche quotidienne (ou plus), changez de patron. Ne soyez plus esclave de votre boulot ! A bas la tyrannie ! 
J

Si c’est votre conjoint qui l’exige, vive le célibat. :/

Le chien est le meilleur ami de l’homme. Et de la femme.

https://www.elle.fr/Beaute/Cheveux/Astuces/No-poo-ces-filles-qui-arretent-de-se-laver-les-cheveux-2653744

Bonus d'un lecteur:

Il existe des échangeurs de chaleur qui, si j'ai bien compris, récupère la chaleur de votre eau chaude pour alimenter, par exemple, votre chauffage? A étudier et à appliquer.
J'y reviendrai sûrement.

https://www.vaillant.ch/particuliers/guide-du-chauffage/dictionnaire-de-la-technologie-de-chauffage/echangeur-de-chaleur/


EAU FROIDE :

Pour se laver les mains ou la vaisselle, nul besoin d’eau chaude. L’eau froide est toute aussi efficace, et on s’habitue très vite à la sensation du froid.
On peut commencer par utiliser une eau moins chaude, puis graduellement plus froide.
Il faut bien se rendre compte qu’en ouvrant le robinet d’eau chaude, on fait souvent couler plusieurs litres d’eau froide filtrée et traitée à perte avant l’arrivée au robinet, pour rien.
Et bien évidemment, il faut fermer le robinet dès qu’on n’a plus besoin d’eau, même au moment de se savonner.

Vaisselle à la main : la faire tremper juste après usage permet d’empêcher la nourriture de sécher, et on utilisera moins d’eau au moment du lavage.
Pour des casseroles incrustées (notamment de fromage cuit), laisser tremper ou réchauffer à nouveau dans de l’eau avec du bicarbonate : c’est magique !



LESSIVE :

Ne lavez plus vos Jeans !
En effet, chaque lavage le détériore.
Mon conseil, lavez-le uniquement quand il se tache de manière visible et tenace. Les traces de boue, par exemple, partent très bien avec un coup de brosse ou même au bout de 2-3 jours, si vous êtes patient.
Pour les odeurs dont il va s’imprégner à la longue, faites-lui passer une nuit dehors de temps en temps, voire toutes les nuits.
Et si vraiment, l’odeur est tenace et pugnace, alors là, oui : lessive !
Un jeans non lavé ou peu lavé résiste à l’usure 2 ou 3 fois plus longtemps.
Economie !

« 
Les plus extrémistes préconisent de ne jamais, au grand jamais, laver leur jean. Parmi eux, le PDG de Levi's lui-même, Chip Bergh: «Une bonne paire de jean n'a pas vraiment besoin d'être lavée, sauf à de rares occasions», » Le Figaro 1/03/2016


https://www.lefigaro.fr/mode-homme/2016/03/01/30007-20160301ARTFIG00279-faut-il-etre-vraiment-inconscient-pour-ne-pas-laver-son-jean.php






CONSOMMATION :

° Le Thé :
N’hésitez pas à le réutiliser, une fois, deux fois… Autrement dit, une fois qu’il a infusé dans la tasse ou la théière, mettez-le de côté, et si vous vous refaites un autre thé dans a journée, remettez simplement les mêmes feuilles infusées. Vous verrez, c’est parfaitement buvable, et parfois même meilleur !
C’est particulièrement flagrant avec le thé noir que les chinois achètent en galette, qui est presqu’imbuvable la 1ère fois et très correct ensuite.
Cette pratique de réinfuser le thé est d’ailleurs courante chez eux.
Sinon, vous pouvez aussi rajouter quelques feuilles la 2éme et la 3ème fois.
Ce conseil ne s’applique pas aux thés vers et aux tisanes.

Donnez la priorité aux thés en vrac plutôt qu’en sachets, ces derniers étant d’ailleurs très souvent produits avec de la poussière de thé, donc du déchet.
De plus, à marque égale, le thé en vrac est presque deux fois moins cher !
Su la marque vérifiée : Thé Earl Grey de Twinnings : sachets : 100 gr : 6,50 CHF ; vrac :  100 gr : 9,95 CHF.

Ecologiquement (on y arrive) : y a pas photo non plus.

Que vous prépariez une tasse ou une théière : versez d’abord l’eau dans le récipient, puis dans la casserole ou la bouilloire.
Pas de perte d’eau, moins de dépense d’énergie, facture d’électricité ou de gaz plus légère.

On vous le dit : l’écologie, c’est winwin.

Conseil bonus : le thé européen existe ! Il pousse au Portugal. Plus précisément aux Açores. Testez-le.
Plus proche donc plus vert 
😊.

https://www.luisa-paixao.com/fr-ch/blogs/la-vie-au-portugal/la-culture-du-the-aux-acores




BONUS: Il existe maintenant du thé Breton!





 LES BOISSONS


Depuis les années 60, nous avons graduellement pris l’habitude d’acheter nos boissons non alcoolisées en bouteilles. Quelle bêtise !
Prenons le Coca Cola comme exemple le plus navrant.
Au départ de l’usine d’Atlanta, le Coca est un sirop qui est envoyé dans le monde entier à un coût écologique absolument désastreux, et ensuite dilué et mis en bouteille dans les territoires concernés.
Or, que contient le Coca Cola ? De l’eau gazeuse, oui, du sucre et de la caféine.
Et un colorant qui, à l’analyse, s’est avéré cancérogène.
Mais revenons sur les 3 premiers composants : l’eau gazeuse n’a aucune valeur nutritive. Le sucre, c’est très bien, mais le Coca en contient une quantité telle qu’il est extrêmement nocif pour l’organisme. Reste la caféine, qui n’est pas un produit qu’on trouve à l’état pure dans la nature.
Si l’on tient à en consommer, autant boire du thé, du café ou du chocolat. Ils sont faciles à préparer et pas chers.
Si vous êtes un grand consommateur, préparez vous un litre ou plus le matin, et vous en aurez pour toute la journée. Chaud ou froid, c’est excellent et désaltérant. Et si l’on considère le nombre de variétés de cafés ou de thés disponibles sur le marché, on peut dire que vous n’allez jamais pouvoir vous en lasser. Cafés arabica, robusta, moka…  Thés Vert, Noir, Blanc, Jaune,  Fumé… Chocolats : Noir, au lait, blanc, …
Si vous préférez les jus de fruits, il y a soit l’option du jus pressé à la minute, les sirops ou notre découverte récente : la boisson issue de gelées ou de confitures.
Vous vous confectionnez à l’avance de la gelée de groseilles, framboises, pommes ou toute confiture qui vous plait, vous faites bouillir de l’eau, vous ajoutez votre gelée ou confiture (cocktails possibles) , mélangez : c’est prêt !
Rien ne vous empêche d’ajouter du thé dans votre préparation. Ainsi plus besoin d’acheter de thés aux fruits.
Sinon, il existe une grande quantité de tisanes, aux fruits ou aux herbes, dont la menthe ou la verveine, que nous recommandons fraîches en saison.



https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_vari%C3%A9t%C3%A9s_de_caf%C3%A9ier
https://www.lupicia.fr/blog/index/billet/10658_varietes-de-thes
https://carre-suisse.com/blogs/infos/nos-differentes-varietes-de-cacao
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cacao





 


HUILES

Donner la priorité aux huiles locales, donc pour la Suisse (et la France au nord de Valence) les huiles de Tournesol et de Colza. Cette dernière est la reine au niveau diététique, au-dessus de l’huile d’olive.
Il faut savoir aussi que l’huile d’olive cuite perd presque tout son goût.

Sinon, l’huile d’olive est excellente, mais il faut savoir que 1° si elle est bon marché, ce n’est probablement pas de l’huile d’olive. Même chose si elle ne sent pas l’olive ou si elle n’en pas le goût. Testez les vôtres à la cuillère.
On dit aussi qu’il faut se méfier des huiles vendues sur les marchés, car elles sont parfois coupées, même avec des produits toxiques. Tester d’abord le vendeur, puis lui rester fidèle.

Achetez en priorité l’huile à l’origine la plus proche. Se méfier des huiles italiennes, car les italiens ((rumeurs)) produiraient plus d’huiles qu’ils n’ont  d’olives. Il semblerait qu’ils importent certaines olives d’Afrique du Nord. Elles sont ensuite pressée en Italie, méritant alors le label « Made in Italy ».
Conséquence : certaines olives arrivent en mauvais état et donnent un goût acre à l’huile ainsi pressée.

Préférez donc des huiles d’autres pays, voire (pour les français et les suisses) des huiles françaises. Les huiles de Nyons et dites des Baronnies (voisines de Nyons) sont parfaites. Tout aussi excellentes sont celles du Portugal qui, m’a-t-on dit, ont toutes les chances d’être authentiques, car ce pays n’aurait pas de grandes exploitations.

Et bio dans tous les cas.

Conseil pour vos salades: mettez moitié huile de colza et d'olive: la première pour ses valeurs diététiques et écologique, et la seconde pour son goût, bien plus intéressant.



MIEL

Le Problème :

Des chercheurs américains ont découvert il y a quelques années que le « miel chinois » était en fait du sirop de riz que les exploitants de miel américains mélangeaient à leur miel et dans certains cas revendaient directement comme du miel. Il s’est avéré à la longue que presque toutes les marques dans le monde contenaient ce sirop à des doses diverses.
Au-delà du fait que c’est une arnaque monstrueuse, cela implique que quand vous achetez du miel français ou suisse en toute bonne conscience, c’est un produit sans rapport direct importé de Chine que vous contribuez à faire transporter parfois sur des distances plus grandes que le « simple » Chine-Europe, car les importateurs le font souvent transiter par des nations intermédiaires pour faire disparaître complètement la mention « Made in China ».
D’ailleurs si vous doutez, achetez du sirop de riz dans le commerce (il est plus cher que le miel !) et faites un test à l’aveugle avec un miel coulant de gamme standard, sans parfum spécifique : c’est strictement la même chose !
Miel liquide Coop premier prix : 6 CHF le kg.   Sirop de riz : 14,10 CHF le kg !

EDIT : Le miel n’est pas un produit anodin. On le vole aux abeilles qui s’épuisent à le produire. De plus, on a découvert dernièrement que les ruches installées dans les villes chassaient les essaims d’abeilles sauvages, menaçant leur existence. Et les abeilles domestiquées sont plus agressives ?

Les Solutions :

° Achetez du miel local chez un exploitant dans lequel vous avez une totale confiance (dur dur).
° Passez à la Mélasse. Là, au moins, pas de malaise avec la mélasse, c’est juste du sucre, et c’est TRES bon. Seul défaut de celui que nous avons adopté : il est fabriqué avec du sucre de canne, produit qui vient forcément des Antilles ou au-delà. Mais nous en avons trouvé fait avec du sirop de betteraves, venant d'Allemagne.
Mélangez-le à du jus de citron ou de pamplemousse, ou faites-y infuser du thé Earl Grey ou de la Lavande, c’est divin.

Jusque dans les années 80, on trouvait en Suisse un sublime sirop de Malt, mais le produit semble avoir complètement disparu.

La Mélasse Migros : 5,64 CHF le kg ! Imbattable.
Mélasse de Betterave Sunstore : 13,77 CHF le kg. C’est le prix de l’Ecoresponsabilité. Origine : Allemagne.




Est-ce bien du miel?




... ou du sirop de riz?


https://www.coop.ch/fr/nourriture/garde-manger/aliments-de-base/farine-sucre/edulcorants/naturaplan-bio-sirop-de-riz/p/5989483

https://shop.migros.ch/fr/direct/product/54206  « Elaboré en Suisse » !
https://www.sunstore.ch/fr/kanne-sirop-betterave-a-sucre-melasse-verre-450-g.html?gclid=CjwKCAiA9tyQBhAIEiwA6tdCrBTDAI6n8qwa6CkxzNIikog99B8GooYoOsEvSo3KnC8LDxLm5SUQxhoC9aoQAvD_BwE



LES PRODUITS IRRESPONSABLES


1° Les fleurs coupées.

La tradition d’offrir des fleurs en cadeau remonte à l’antiquité, mais celle-ci doit maintenant cesser.
A une époque où les ressources commencent à manquer, il est inadmissible de continuer à consacrer des millions d’hectares à un produit qui est arrosé d’eau et de pesticides, récolté, transporté  travers le monde pour ensuite être placé dans des vases (avec encore de l’eau) et… faner.

Les Solutions :

Comme cette tradition n’est pas près de disparaitre d’elle-même, deux solutions :

1° Cesser d’en acheter, tout simplement ; demander à votre entourage de ne plus vous en offrir et expliquer à ceux qui continue à en offrir à d’autres pourquoi il faut cesser de le faire.

2° Alerter les pouvoirs publiques, vos dirigeants, les partis de l’urgence du problème.

Au plus urgent, il faut interdire (en tout cas cesser) l’importation des fleurs d’origine lointaine, et réguler (limiter) la vente des fleurs au public.
Selon l’article fourni en lien (d’où-viennent…), les ¾ des fleurs vendues en France viennent de Hollande mais aussi d’Afrique ! Cette Afrique dont on nous rabâche sans arrêt qu’on y meure de faim ! Sur la carte en lien (roses-afriques, ec….) on voit clairement que l’écrasante majorité des fleurs vendues dans les pays européens sont importées. Seuls les Pays-Bas exportent plus qu’ils n’importent.
L’inde est aussi un pays majeur exportateur de fleurs. On croit rêver, ou plutôt cauchemarder.

https://multinationales.org/Mais-d-ou-viennent-donc-nos-fleurs
http://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/dossiers-regionaux/afrique-dynamiques-regionales/articles-scientifiques/roses-afrique-mondialisation


Un camion réfrigéré venu de Hollande livre directement des fleurs tout près de chez moi, à Genève!




AGRICULTURE


Le problème : une trop grande dépendance aux importations.

Les solutions :

° Exploiter toutes les terres possibles :  les parcs, les jardins, les propriétés privées. Par exemple, planter des vergers dans les grandes propriétés. Les propriétaires pourront être dédommagés et permettront l’accès aux périodes nécessaires pour la récolte.
° Réduire les cultures non essentielles, telle la vigne. Le vin est un poison et il s’en produit déjà assez chez nos voisins. Même chose pour les autres plantes destinées à produire de l’alcool : houblon, prune, abricot, l’orge. Si c’était pertinent chez nous, on bannirait la culture du tabac.
° Installer des serres en altitude, chauffée par batteries solaires la nuit.






CULTURES ET ESPACE VERT A PLAINPALAIS

A Genève, la Plaine de Plainpalais doit impérativement retrouver sa fonction de poumon du Centre-Ville. De même l’impossibilité d’y planter des vrais arbres en son centre à cause de la présence du parking en sous-sol est une aberration.
Deux solutions proposées : condamner le premier niveau du parking et replanter une vraie nature, un vrai parc en surface avec des allées pour la libre circulation des piétons et des cyclistes en surface. Conserver même l’accès actuel aux voitures pour traverser la place, où la recentrer. Ou l’éliminer.
La perte de place de parkings de cette option peut aussi être compensée par une meilleure exploitation des parkings P+R en bordure de ville.

Par rapport à l’occupation ponctuelle de la Plaine par des évènements publiques, là aussi ça n’a pas de sens. Le prix que paient les nombreux résidents voisins est trop élevé.
Ceux-ci peuvent tout aussi bien se dérouler en périphérie de la Ville avec un solide accès par des transports publiques, comme c’est le cas pour Palexpo. La plupart de ces manifestations pourraient d’ailleurs se dérouler dans Palexpo, y compris le cirque et les Fêtes forains.

Une autre option sera de rendre à la Plaine sa fonction de champs de cultures, par exemple d’artichauts. Mais aussi toutes autres cultures évidemment. Je pense que cette activité serait très appréciée à la fois des citoyens qui résident aux alentours mais aussi de ceux qui transitent par la Plaine.

Cette idée serait sûrement applicable à d'autres villes dans le monde. Je pense à la Place Bellecour à Lyon, qui semble avoir été conçue avec le même revêtement que Plainpalais.

HTTPS://WWW.GENEVE.CH/FR/FAIRE-GENEVE/DECOUVRIR-GENEVE-QUARTIERS/PLAINPALAIS-JONCTION/HISTOIRE-DEVELOPPEMENT

« LE "JARDIN DE GENÈVE"
SUITE À LA MAÎTRISE DES EAUX DE L’ARVE, LE TERRITOIRE DE PLAINPALAIS JONCTION DEVIENT PROPICE À L’AGRICULTURE. (...) POUR L’ANECDOTE, ON APPELLE LES MARAÎCHERS « PLANTAPORRÊTS», DÉFORMATION DE «PLANTEURS DE POIREAUX». (...) ((LES AGRICULTEURS)) QUI CULTIVENT CES JARDINS ET FONT DÉCOUVRIR AUX GENEVOIS-E-S DES LÉGUMES ALORS INCONNUS, COMME LES ARTICHAUTS VIOLETS OU LE CARDON, QUI DEVIENT UNE SPÉCIALITÉ GENEVOISE LABELLISÉE. « 


La Plaine de Plainpalais aujourd'hui. Quelle tristesse! Quel ennui!



Place Bellecour à Lyon.

 

IMPORTATIONS :


° Etablir des quotas pour les privés et les entreprises. Par exemple, les entreprises devront réduire leurs importations de 20% les 3 premières années.
L’année 0 servira de modèle, l’année 1 de première tentative pour atteindre le quota désiré et l’année 2 pour affiner ce résultat. L’année 3 deviendrait le nouveau modèle.
Ensuite, sur la base des premiers résultats, établir un nouveau quota, plus sévère si c’est possible.
Les importations les plus réduites seraient les plus lointaines : importations des Amériques, d’Asie, d’Océanie, d’Afrique sub-saharienne. Des importations plus proches (Europe, Afrique du Nord) seraient moins réduites. Ainsi, les agrumes européens pourraient rester couramment disponibles, les bananes deviendraient plus chères. Le café et le cacao africains seraient prioritaires sur ces mêmes produits d’Amérique. Le thé, très léger, serait peu impacté, mais celui d’Europe (Portugal) avantagé.
° Etablir aussi des quotas sur les achats privés à l’étranger, par poste ou autres. Quotas établis sur la base du poids. Dés le dépassement du quota (annuel pour les commandes internet), taxes graduellement plus lourdes.
A la douane, chaque achat sera enregistré nominalement.



INTERNET, TELEPHONIE :

° Pas de 5G : freiner ou bannir le développement de nouvelles technologies non essentielles et énergivores.
° Quotas d’accès à internet et d’usage du téléphone.


RECYCLAGE

LE KARMA CHOCOLAT.

Le Problème

Il existe dans le monde environs 180 millions de chiens ayant des “maîtres humains”. Le reste, 720 millions, est constitué de chiens errants et de chiens sauvages, coyotes, dingos, etc…

Imaginons que parmi les 180 millions, les maitres de 60 millions d’entre eux les promènent quotidiennement ET ramassent leurs crottes qu’ils placent dans des petits sacs plastiques.

Un chien faisant caca environ 3 fois par jour, cela fait donc 180 millions de pochettes plastiques jetées… tous les jours !
Chaque sac pesant 2 grammes, cela en fait donc 360.000 kilos de plastique produits par jour et jeté après le premier usage.

On me dira à ce stade que ces sacs sont à présent en matière recyclable, mais ce n’est pas le propos.
Poursuivons.
Ces sacs sont certainement fabriqués de manière centralisée, dans une, deux ou trois usines dans le monde.
Ils sont donc fabriqués, envoyés dans des centres de distributions, puis dans des commerces où les clients privés (nous) les achètent, les ramènent à la maison pour ensuite… les utiliser une seul fois.
Comme bon nombre de produits consommés par l’homme, certains parcourent donc des dizaines de milliers de kilomètres avant d’être finalement… jetés à la poubelle.
Ce sont donc des centaines de milliers de kilos qui font « le tour du monde » quotidiennement, par avions, par bateaux, par camions, presque tous très polluants, pour rien.

De plus, n’oublions pas qu’une fois utilisés, ces sacs contiennent les fameuses crottes de chiens. A 100 gr la livrée moyenne, on obtient 18 millions de kilos jetés à la poubelle, puis amenés à la déchetterie (par véhicules à essence ?) et incinérés, générant encore une pollution supplémentaire.

Et tout ça, PAR JOUR !
Pour une  année, on en est à 130 millions de kilos de sacs produits et 6570 millions de kilos de crottes incinérées !

Ouf, on arrête pour les chiffres, j’ai le tournis.

La question est évidemment : est-ce raisonnable ?

La solution.

La solution la plus simple et la plus radicale, c’est d’arrêter de ramasser les crottes. Revenir à la situation d’avant 1995 environ. Hé oui, ça fait à peine 25 ans an que cet usage barbare a été imposé au meilleur ami du chien.
Avant, on faisait attention où on marchait, on pestait quand on en écrasait du pied et on se consolait en disant que ça portait bonheur. La belle époque.

Une solution que je pratique depuis quelques temps que je suis retourné à la campagne, c’est de ne plus ramasser lorsque c’est écologiquement aberrant.
Par exemple, sur le bord d’un champ : je balance l’affaire dans le champ.
Cette crotte se fondera de toutes façons visuellement dans le paysage de mottes et de feuilles mortes. S’il pleut, elle sera rapidement absorbée par la terre, et s’il fait sec, elle va sécher. Et les chances que quelqu’un marche dedans sont quasi nulles, ou alors la personne ramassera de toutes façons un paquet de boue avec.
Il me semble que le même principe pourrait au moins être appliqué dans les parcs à chiens où, les non-initiés l’apprendront, il faut ramasser après son chien, en Suisse en tout cas.

Option moins radicale, mais plus compliquée à appliquer : une règle pourrait être instaurée obligeant les propriétaires à ramasser les crottes uniquement en zone urbaine.

Je dis : moins de pollution collatérale, et les sols seront directement enrichis.


Pendant que je rédigeais ce texte, ma chienne a fait caca juste à côté de moi, dans ma cuisine, et dans ma chambre et dans mon salon. Une belle diarrhée multicolore.
L’Univers s’oppose à mon plan scatophile.
Ou alors c’est le Karma Caca.

https://en.wikipedia.org/wiki/Free-ranging_dog

https://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/succes-caninettes-crottes-dement/story/13140040





LE COMPOST

Mettre en place un réseau de fosses à compost dans tous les quartiers, si possible à moins de 300 m. de toutes habitations.
En cas de surfaces proches non disponibles, une benne classique à roulette sera mise à disposition pour les résidents et régulièrement amenée par des employés municipaux pour être intégrés dans la fosse la plus proche.
Ces fosses pourront avoir des dimensions de 0,70 X 0,70 X 1,40 (profondeur),
Elle seront recouvertes d’un couvercle en métal qui comportera quatre parois verticales en grillage doublé (comme du double vitrage) qui viendront se glisser contre les parois de la fosse, empêchant la terre à l’intérieur de s’effondrer.
En surface, cette structure dépassera le niveau de la terre d’au moins quelques centimètres, ou plus, si ça rend son usage plus accessible pour les utilisateurs, le but étant surtout que l’air puisse circuler dans la fosse, ce qui est favorable à la transformation de la matière organique en compost.
Les citoyens viendront déverser leurs déchets organiques dans ces fosses de la même manière qu’ils font actuellement dans les bennes.
Lorsque la fosse sera pleine, une deuxième aura déjà été aménagée à ses côtés.
La première sera condamnée (par un cadenas par exemple). Lorsque suffisamment de temps aura passé pour que toute la matière de la première fosse se soit complètement décomposée, la cage grillagée sera retirée grâce à une grue mobile. Le compost tombera alors dans la fosse qui sera alors recouverte de terre jusqu’à être à niveau avec le sol. On pourra alors soit y planter du gazon, un arbre ou des cultures. Et ainsi de suite, tout autour de la surface concernée.
Variante : la grille enterrée pourrait avoir un fond, à la manière d’une passoire de friteuse. Une fois la fosse pleine et décomposée, une grue mobile pourra la retirer, déverser le contenu dans un camion et celui-ci ensuite emporté dans la zone la plus proche où il sera utile : un champ cultivé, un parc, etc…
A Genève, le contenu des fosses autour et aux alentours de la Plaine de Plainpalais pourront être déversés directement sur la Plaine transforme en champs ; idem autour des Pacs des Eaux-Vives et de La Grange, des bords du lac (sur les pelouses des quais), le Parc Bertrand, ec…
Ainsi, nous n’aurons plus ce manège de collecter la matière organique brute, plus volumineuse et plus lourde, vers un centre de recyclage à l’extérieur de la ville, où les particuliers vont chercher 10 ou 20 litres de compost chacun dans leurs voitures individuelles

Un aspect de ce concept est : peut-on y intégrer des matières fécales ? Absolument! On y retrouverait donc les crottes de chiens (voir un texte précédent sur le sujet) les litières souillées des chats et…. nos propres excréments !
En effet, tout ce que nous débarrassons par les chasses d’eau des W.C. est du gaspillage et des dépenses supplémentaires en traitement des eaux usées.
Installons graduellement des toilettes sèches dans toutes les habitations, et chaque citoyen aura pour charge de venir déposer ses excréments recueillis dans des sacs compostables dans les fosses.
Y aura-t-il alors un problème d’odeurs ? Celles-ci devraient pouvoir être neutralisées grâce à l’ajout de charbon actifs ou de parfums naturels.
Aussi en recouvrant régulièrement les déchets de terre ou de toute autre matière adéquate.

En attendant que la mesure ci-dessus soit mise en place, je précise que toute personne qui bénéficie d’un jardin doit composter directement chez soi, ce que je fais depuis presque trois ans, grâce à un bac à compost.
Je viens de décider que je pouvais aussi aller récupérer des sacs de matières végétales dans les bennes à compost municipale et les stocker dans mon propre bac, réduisant ainsi la masse de déchets à amener au centre de compost et m’assurant une plus grande production de terreau à l’avenir.
Il n’y a pas de petites économies. 😊

https://www.ledevoir.com/societe/492696/du-petit-coin-au-compost

https://www.collectal.fr/images/sites/27/2020/11/VILLIGER_Innovations_2020.pdf


RAMASSAGE :


Le problème :

Le monde est sale, les gens sont sales, Genève est sale !

La Suisse est propre ? Ah, la belle affaire ! Car un petit bourg de sagouins, Genève donc, presque 10% de la population de la Suisse tout de même, résiste.

C’est la faute aux étrangers ? Trop facile, même s’il y a une part de vérité. La faute aux jeunes ? Possible aussi.

Car les plus anciens vous le diront : « La Suisse, c’était plus propre avant. » Et ce n’est pas faux. Jamais, dans les années 70, époque où j’ai grandi, on aurait trouvé dans les parcs, les promenades, partout en fait, des tonnes de détritus en permanence. Et ce qui est le plus révélateur, les lendemains de week-end.

A une époque, dans les années 2017-19, j’étais tellement excédé par cette saleté permanente que j’ai décidé de m’attaquer au problème de front.
J’ai commencé à nettoyer les parcs près de chez moi, tout le temps, jusqu’à plusieurs fois par jour. Mon idée, c’était que la saleté entraine la saleté. Et donc la propreté devait « forcément » entrainer la propreté.
Hé bien pas du tout. Tous les jours, la saleté revenait, quasi identique.

Un jour, je me suis attaqué à la colline de l’Observatoire, en face du Musée d’Art et d’Histoire.
Sur une grille d’évacuation d’air placée au sol, vers le sommet, des jeunes (20-25 ans tout de même) s’étaient installés pour pique-niquer et boire des verres, et j’ai remarqué que certains balançaient leurs détritus sur la pelouse pendant que je ramassais à quelques mètres de là. J’ai donc resserré mon champ d’action pour me rapprocher d’eux.
Hé bien l’un d’eux n’a rien trouvé de mieux que de me balancer une bouteille (vide) à la figure !
Et là, magique, un membre du groupe s’est levé, a ramassé la bouteille, me l’a tendue et s’est excusé :
« Je suis désolé, c’est vraiment pas correct. Mais comprenez… c’est pas dans leur culture. »
Et, effectivement, la plupart d’entre eux parlaient italien… ou grec, je ne suis pas sûr.

Mais là n’est pas la question : les gens ont besoin d’être éduqué à devenir propre, de front. Sinon, ils continueront à balancer leur déchets n’importe où, sur les trottoirs, au bord des routes, sur les plages, dans les cours d’eau… et à la mer bien sûr.

Une autre anecdote dans mon réquisitoire : à cette époque, en Vieille Ville, il y avait en bas de chez moi une fosse archéologique préservée par des grilles et une plaque explicative. Cette fosse était en permanence pleine de détritus !
Bonjour la réputation qu’on se fait auprès des touristes !

J’ai donc envoyé une plainte à la Voirie Genevoise qui a dépêché des ouvriers dans les 3 jours.
Super, très bien !
J’ai entamé la discussion avec les ouvriers et l’un d’eux a fait cette remarque édifiante :

« Vous savez, ça ne sert à rien. Il faudrait qu’on fasse ça toutes les semaines. »
C’est vrai, c’est vrai.

Quelques jours plus tard, c’était de nouveau tout sale.

J’ai un jour demandé à un autre ouvrier de la voirie pourquoi ils ne ramassaient pas les détritus sur la pelouse attenante.

« Ce n’est pas notre boulot. On est payé seulement pour vider les poubelles pleines. »

Je suis retourné il y a quelques semaines pour inspecter la fosse, par nostalgie et curiosité.

C’était sale.

+   +    +   +   +   +   +

La Solution

Prendre avec soi un sac en promenade et ramasser les détritus sur son passage pour les mettre dans des poubelles sécurisées, vu que les corneilles les dispersent autour.
Si plus de gens le faisaient, ça deviendrait vite un fait de société.

Le littering est devenu illégal dans la plupart des cantons suisses, mais cette loi est-elle appliquée ?



    

Détritus trouvés et ramassés sur un Parking privé près de la Route de Thônex ce lundi 28.02.2022. Temps de ramassage, triage et débarras dans des containers de tri à 30m mètres: 15 mn environ.



ELECTRONIQUE/ELECTROMENAGER/ETC…

Montres :

Donnez la priorité aux montres automatiques, c’est-à-dire sans piles. Elles se remontent avec un balancier qui réagit au mouvement du poignet. C’est tellement ingénieux et naturel.
Les plus chères ont une autonomie de plusieurs jours, uniquement souhaitable si on possède une collection de montres, et encore : si l’on place sa collection dans un tiroir que l’on tire tous les jours au moins une fois, elle se rechargera automatiquement. Et rien ne vous empêche aussi de la secouer quotidiennement. Ou sinon : remettez-la à l’heure au moment de la porter ! :D
Les moins chères (Swatch par exemple) tiennent sans problème une nuit, ou 12 heures.

J’ai acheté une montre automatique Swatch en 93 (conçue en 92 à l’occasion du premier sommet de la Terre à Rio !) et elle n’a fonctionné correctement que 2 ou 3 ans, ce qui m’a fait bêtement renoncer à cette option jusqu’à récemment.
Ma dernière montre à quartz (donc à pile) m’a lâché après moins de 2 ans. Je n’ai pas retrouvé la garantie (comme souvent) et j’ai eu la nostalgie de cette ancienne Swatch automatique que je n’avais bizarrement pas conservée.
J’ai donc décidé d’en retrouver une sur le net, même défectueuse.
Et surprise, il s’en vend encore en état de marche, et moins chères que le prix d’origine ou équivalent.
J’ai acheté la mienne en mi-janvier, état neuf, pour 80 CHF, et elle marche parfaitement ! Et elle est belle, mais belle !
Imaginez un peu qu’elle a été fabriquée en 92 (c’était une série limitée, plus disponible en tout cas depuis 95) et depuis, celle-ci a été manipulée dans sa boîte, déplacée, rerangée, placée dans un tiroir souvent ouvert ou dans une caisse qui a été déplacée tous les 2 ou 3 mois.
Elle a donc trente ans d’âge effectif, et probablement plus de 10 ans de fonctionnement dans le mécanisme. Et elle donne parfaitement l’heure, le boîtier plastique ne montre ni signe d’usure ni rayures ! C’est magique.

Notez enfin que les boutiques Swatch polissent gratuitement vos vitres de montres, sans questions sur l’origine ou l’année d’achat.

C’était la minute pub pour une institution typiquement helvétique.





Je suis tout de même conscient que "Swatch" n'est pas un fabricant particulièrement respectueux de l'environnement. Des montres en plastique que l'on jette quand elles cessent de fonctionner? (soupirs)                          

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